19 March 2024

Le club des passionnés de la Peugeot 505 - club505.fr@gmail.com

numari15

16 mai 1979, la 505 arrive sur le marché français, afin de remplacer la 504, après ses 21 ans de bons et loyaux services.

La 505 entre dans la catégorie des  berlines de classe moyenne supérieure. Elle prend le relais de la 504 avec une carrosserie entièrement remodelée dont l’allure générale et certains détails d’aménagement ne sont pas sans rappeler ceux de la 305 sortie un an et demi plus tôt, cependant elle conserve la plate forme de la 504. Cette robe élégante a été imaginé chez Pininfarina , en collaboration avec le bureau de style Peugeot. Elle présente d’ailleurs naturellement le même air de famille que les 504 et 305 dues à ce styliste.

Comme sur la récente 305, on retrouve ici : des panneaux latéraux coupé par une nervure qui, sur certaines versions peut être habillé d’un bourrelet de caoutchouc ; d’une moulure en creux courant tout le long de la ceinture de caisse, du phare au coffre en passant par la base du par brise ; une gouttière se prolongeant jusqu’à la lunette et coupant ainsi le panneau de custode. Les poignées de portes, elles aussi, sont celles de la 305.

Cela dit, l’aspect général de la voiture est plus net que celui de la 305 grâce aux lignes plus allongées, grâce aussi à la forme des panneaux plus tendus que sur la 7/8 CV. Le par brise est plus incliné. Les phares paraissent réussis ; de forme trapézoïdale bien équilibrée, ils s’inclinent nettement vers l’avant au sein d’un capot proéminent dont la partie antérieure forme trois pans bien dessiné, d’un caractère plus affirmé que sur la 305. Sous le par chocs avant en matière moulé on distingue un becquet.

L’arrière se différencie sensiblement de celui de la 504. De même que sur la 305 on remarque des sorties d’air en dépression le long de la porte arrière, sur le panneau de custode. Ajoutons que les roues semblent petites et n’affichent pas de progrès par rapport à celles de la 504, conservant en particulier les mêmes enjoliveurs.

La voiture sera commercialisée jusqu’en 1992, à travers 2 séries (1979-1985 et 1986-1992), 5 motorisations (carburateur essence, injection essence, turbo injection essence, diesel et turbodiesel) et 2 carrosseries (berline et break). Elle connaîtra un beau succès, avec XXX millions d’exemplaires vendus, en France mais aussi à l’étranger.

Widgetized Sidebar

This panel is active and ready for you to add some widgets via the WP Admin